27 décembre 2006

echomedia YM

echomedia YM poesie & création d'emplois du verbe
revenir sur ces emplois de filmosophe
poetes du dimanche le créateur
de la partition
de la suture sagitale
du crane
:RILKE
revenir sur ces emplois de liftier
bien sur quand l'ascenseur n'est pas en panne
il n'y a pas de liftier
à Lola ya Bonobo
paradis des bonobos en kinois
dans l'immeuble qui abrite 50 rescapés
les mamans de substitution en vacances humanitaires
oui remplacer la mere du bonobos
mais il y eut des exces
en faire trop entretient la dépendance
pas assez ? incapable de se débrouiller seul
dès que l'ascenseur social sera réparé
il y aura du boulots pour les liftiers

8 Comments:

Blogger NotBillyTheKid said...

S'il te plaît, je te le demande de nouveau. Essaie de rester sur l'actualité immédiate dans tes billets. Merci. (ton billet sur le fait que j'ai déplacé ton post aurait pu être mis en "commentaire" du billet" par exemple.)
Je te remercie de faire attention à ça afin de respecter le but initial du projet.

15:23  
Blogger Thierry Brunet said...

Bonjour Mr Media
Si je peux me permettre, il ne suffit pas de coller des inepties les unes au cul des autres pour se croire le roi de l'impro.
Vos billets prennent beaucoup de place pour rien et sont complètement hors sujet.
Suivez donc les bons conseils de Billy et allez prendre l'air ailleurs car si vous continuez à sévir ici, ce blog risque d'avoir beaucoup moins de charme. Hélas !

21:57  
Anonymous Anonyme said...

H S ? mon dieu monsieur brunet vous voila loin de sembler paraitre au fait du sujet!
l'ouverture de ce centre de re adaptation pour bonobos pres de kinshasa , et l'hiver qui est la saison des sdf , quant à l'expo artaud allezi . Ainsi c'est le charme que vous cultivez ? Je ne vois pas ce que prince charmant vient faire là ....

14:38  
Blogger Thierry Brunet said...

malgré l'anonymat, le coin coin du canard et la prétention du connard (ou l'inverse)demeurent... over and out

20:37  
Blogger Thierry Brunet said...

NB: les sdf ne sont pas mieux logés l'été, mais tout le monde s'en fout, c'est la saison des cons gelés payés

20:47  
Anonymous Anonyme said...

La parémiologie française a par exemple récupéré les vers de poésie de François Villon pour en faire un adage souvent attesté dans les dictionnaires de langue. Tant ayme on chien qu’on le nourris, Tant court chanson qu’elle est aprise ; Tant gard’on.fruit qu’il se pourri! (ca. 1456-1463), dans la troisième strophe (v. 18, 19) de « Ballade des proverbes ». Ce vers proverbial a parfois été consigné comme anonyme montrant le phénomène inverse du passage de l’oral vers l’écrit, c’est-à-dire un processus d’anonymisation. Il est consigné dans les Thresor de sentences dorées, et argentées. Proverbes et dictions (1617) de Gabriel Meurier. IL s’agit là, mentionne Laurence Rosier d’une acheminenement vers le discours direct libre : « ce discours anonyme doit être senti comme réénonçable sans obligation de mentionner son origine énonciative, soit parce qu’il a pris la forme d’un slogan, d’un « bon mot », aisément identifiable, soit qu’on ignore qu’il puisse être réancré énonciativement de façon précisé, soit enfin parce que rien ne distingue cette énonciation d’une autre, si ce n’est son caractère d’expérience universelle. C’est la force de l’idéologie que ces discours allant de soi, sans ancrage énonciatif relativisant leur portée. »
http://www.arabesques-editions.com/fr/l-anonymographie-et-l-oralisation-autour-du-secret-sur-l-?page=0%2C2

17:50  
Blogger echomedia said...

promis!
demain j'écris pour l'éternité
définitivement

17:52  
Anonymous Anonyme said...

NON pitié ! TOUT mais pas ça !
"the horror... the horror..."

20:30  

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