du jardin d'eden au jardin global
La question palestinienne et le jardin global.
Les 415m de dénivelé du futur canal entre le golf d'Aqaba et la mer morte suffiront à la puissance des générateurs des stations de dessalinisation , autant d'espace vital regagné grace à l'irrigation . La pression canalisée entre les partis en présence Jordanie Autorité palestinienne Israel va métamorphoser le besoin d'affrontement en désir de coopération avec l'objectif de sauver la mer morte de la disparition. La banque mondiale a déja avancé 15 mions $ sur l'étude confiée à l'architecte FOESTER
2 Comments:
est ce que c'est toi qui proposait au musée de la villette un travail sur le jardin global qui devint le jardin planétaire après l'opa de clément ?
je suppose que tu es au rmi depuis ?
Contre l’art global. Pour un art sans identité
Jean-Claude Moineau
Extraits de l’introduction
«L’art global n’est pas tant un art intégral qu’un art intégralement intégré, ayant — après l’échec de ce qu’il pouvait encore y avoir de velléité critique dans le postmodernisme et le constat que toute visée critique se trouve inexorablement absorbée par ceci même dont elle entend faire la critique — abandonné toute dimension critique qui supposerait un ailleurs, s’appliquant sans relâche à faire passer dorénavant toute ambition critique pour réactive. (...)
L’art global est un art destiné non tant à un public qu’à la fois au marché, en voie de mondialisation, et aux institutions, tant nationales que supranationales. C’est l’art le plus institutionnel qui soit, l’art hyper institutionnel qui a délaissé toute critique des institutions comme de l’art en tant que tel. L’art des grandes messes et kermesses, des grandes foires et foirades internationales de l’art. (...)
A une époque où l’art se globalise de plus en plus, il ne saurait être, en art comme ailleurs, d’alternative dans une quête identitaire nécessairement vouée à l’échec. L’hypothétique come-back identitaire (quand bien même les identités ne sont jamais données d’avance mais sont toujours à construire) et la globalisation, loin de s’opposer, ne sont que les deux versants d’une même réalité. Aussi la résistance à l’art global ou globalitaire ne saurait-elle venir d’un quelconque art à caractère identitaire, local, localisé ou délocalisé ni même fractal (les différentes tentatives d’art identitaire de ces dernières années n’ont fait, pour finir, que se couler dans le mainstream), mais vient-elle bien de l’art post-identitaire qu’est l’art sans identité d’art.»
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